La ville de Baledor

(Comme nous arrivons dans un nouveau lieu, continuons dans cette nouvelle section !)

Phantom entra de la ville écouta les paroles de ce fameux Zero et lui tourna le dos. ses yeux se rivèrent vers les deux gardes qui pour lui semblait sans expérience et imcompétant.

L'heure de son plan avait sonné. Il devait en profiter s'était dans un lieu fixe. Il devait faire ça avant demain, lors du retour du groupe. Il leur manquerait une personne. *Vive la comédie...* Il devait éxecuter sa mission, donner par son maitre.

-Allez... Je ne peux perdre mon temps... à la chasse.

Phantom commenca sa petite marche tout en suivant sa proi. Le temps était compté.

Dès que le groupe entrèrent dans la ville, Leyth reserra ses petits membres autour du bras de Zero de plus en plus fort à chaques secondes qui passait.

Il n'étais point fatigué, même s'il n'avait pas dormit depuis qu'il est né (il y a trois jour). Il ne savait même pas ce que voulait dire ''dormir''. Il remarqua qu'Iris ne bougeait plus. ''Est-elle morte?'' se disait Leyth.

Le groupe se dissipa peut à peut. Speranzes avait Iris dans les bras et se dirigeait vers un grand bâtiment. Phantom était de dos à Zero et il regardait les gardes à l'entré. Il dit quelque chose mais Leyth ne comprenait pas la langue des humains.

Leyth dessendit enfin du bras de Zero et tomba violament au sol. Il se releva vite sur ses pieds et marchait à coté de Zero.

Les 'gardes' se regardèrent avec un regard léger alors que le groupe leur faisait dos. Des amis du porteur du livre ? Il n'était donc pas seul, finalement ?

Un point leur vînt alors en tête. S'ils étaient vraiment ses amis, pourquoi le cherchaient-il ? Était-il déjà entré ou, au contraire, allaient-ils le faire entrer ? D'une façon ou d'une autre, il étit trop dangereux de les laisser vivre.

Ils leur laissèrent prendre une bonne distance puis, informant d'autres gardes par 'message' que quelque chose n'allait pas et qu'ils allaient vérifier, ils quittèrent la porte, se faisant bientôt remplacer.

En suivant le groupe de loin et avec tout le talent dont peuvent faire preuve des assassins, ils avançaient dans la nuit à leur première cible. Sans doute était-ce plus aisé de s'en prendre à la jeune fille endormie pour commencer. S'en servir comme hôtage ne pouvait pas être bien nuisible, surtout si les autres compagnons se trouvaient à être plus forts qu'eux...

Ils traquèrent leur cible jusqu'à l'auberge, attendirent quelques minutes avant d'agir. Bien assez tôt, ils virent Speranzes, le seul autre à être entré, ressortir. Attendant qu'il disparaissent du champ de vision, il furent quelque peu surpris de le voir se changer en oiseau. À nouveau, les deux hommes se regardèrent. Ils feraient attention à ces individus, finalement...

Il ne restait que la jeune fille. Iris, qu'ils l'avaient appelé ? La petite Iris, qui était-elle pour ces gens ? La soeur de l'un des combattants ? Et la bulle autour d'elle, que faisait-elle ? Personne ne semblait vraiment s'en soucier, alors ce ne devait pas être bien important...

Ils entrèrent sans bruit. La salle n'était pas vide; la présence des autres changeaient bien des choses. Eux-mêmes, accoutrés en gardes, ne pouvaient vraiment justifier leur présence là, si ce n'était que de la même façon qu'ils avaient justifié leur absence auprès des autres gardes.

Ils traversèrent donc la pièce, adoptant l'attitude de gens qui avaient à accomplir une tâche d'État dans le lieu. Ils passèrent leur chemin, rejoignirent les chambres... L'un des assassins sourit, sortit une petite baguette sertie de ce qui semblait être un oeil de verre. Il se mit à passer de porte en porte, suivit de près par son compagnon, se servant de son objet pour magiquement scrutter l'intérieur des chambres.

Il ne put s'empêcher de s'exclamer un "Qu'est-ce que... ?" en scruttant l'intérieur de la pièce où, au même moment, Iris se réveillait en sursautant, portant sa main vers la dague qu'elle avit consérvé.

En regardant l'intérieur de la salle, l'homme n'avait aperçu dans la salle sinon normale une large zone dans laquelle il ne pouvait rien distinguer. De son côté, Iris avait vu ricocheter sur son antimagie des vagues momentannées de magie. Elle regarda autour d'elle; aucun signe de Zero où des autres... Personne dans la pièce.

Elle se frotta les yeux et s'asseyant sur le lit. Il faisait encore bien noir dehors. La fille se sentant toujours très fatiguée, se laissa retomber lourdement sur le lit, les yeux cependant grands ouverts. Elle continua de regarder au travers de la salle, remarquant un bientôt un mot posé près d'elle. Elle plissa les yeux dans la semi-pénombre pour lire la note; la friction sur sa zone d'antimagie éclairait le papier par derrière, lui nuisant plus encore dans sa tâche.

"Je te lèsse dequoi te défendre." Que pouvait-il bien avoir laissé ? Défendre contre quoi ? La magie qui... Sa main sentit le contact froid de la lame du sabre à moitié recouvert par l'oreiller (elle bouge pendant la nuit ). Elle retira rapidement sa main, sentant une légère douleur à son doigt tendi qu'une goutte de sang tombait sur ses vêtements.

Elle regarda à tour de rôle son doigt et la lame, silencieuse. Elle se décida à la prendre, question d'en connaitre au moins le poid. Ça ne pourrait pas nuire... dans l'éventualité où l'arme ne fut pas trop lourde pour elle.

Et elle l'était un peu. Elle aurait pû la tenir comme une épée à deux mains, mais n'ayant jamais vu quiconque combattre ainsi encore, elle songea qu'il valait mieux s'en tenir à sa dague.

Elle y songeait encore lorsqu'un léger déclic attira son attention. Quelqu'un semblait jouer avec précaution dans la serrure de sa porte...


(Si quelqu'un a besoin d'information pour continuer; Zero, par exemple, à la recherche d'un magicien... faîtes-moi signe)

Phantom examina tout les alentours tout en suivant sa proie. Se cachant partout lors du parcours pour ne pas se faire remarqer. Il tourna la tête vers l'arrière et vit les suposés gardes de cette ville aller vers l,auberge ou Iris était.

-Hm...Autant qu'il ne ruine pas ma mission, peut être je me fais que des idées aussi. Peu importe, revenons à cette proie... Je ne peux décevoir mon maitre sinon j'ai ma tête coupé.

-Phantom progressa et vit l'armure tomber du bras de Zero dans bruit sourd. Leyth en sembla pas sans soucier. Phantom regarda Zero qui cherchait un être pouvant l'aider pour ce fameux l'anguage. Il en profitera pendant ce moment, vite fait et net, sans bavure.

Speranzes, qui était toujours transformé en oiseau, senti soudainement une très légère douleur au niveau du bout de ses ailes (se qui sous forme humaine srait ses doigts) Et il eut une vision a travers les yeux d'une autre personne.

Il se trouvait dans la chambre où il avait laissé Iris et il était étendu dans le petit lit. Il s'était coupé avec son sabre qui se trouvait a moitié couvert sous une oreillé et il essaya de le prendre, mais il était trop lourd pour lui. Il s'était étendu sur le lit et il entendit un légé déclic venant de la porte.

La vision se termina a se moment. Il ne savait pas quoi penser c'était la premiere fois que cela lui arrivait. Son sabre ne pouvait pas etre magique sans qui le sache et meme si il l'était son effait aurait été brisé avec la barriere anti-magie d'Iris. Il réalisa que c'était p-t un lien qu'il avait développer avec son arme ce n'était peut-etre pas impossible.

Quoi qu'il en sois si sa vision était vrai peut-etre qu'elle était en danger alors il changea sa forme de simple oiseau a celle de faucon se qui lui permettrait de rejoindre le village beaucoup plus vite. Donc il se diriga vers le village le plus vite possible en espérant qu'il arriverait assez vite.

Dans le grand ciel noir étoilé deux être survole au dessus des nuage en direction de Baledor.

Zaphir en survole au coté de Kiera lui donna comme objectif d’aller trouver Zero dans la ville avant lui puisqu’elle vollait beaucoup plus rapidement que lui.

-Va Kiera, va porter se message à Zero.

Zaphir avait prit la penne d’écrire un message pendant le début du voyage, le message disait :

-Bonjours noble guerrier, je me nomme Kiera, aigle sauvage au service d’un ange. Cette ange m’envios vous avertir qu’il est en route pour venir vous voir dans cette ville avec des nouvelles d’un de vos ami.

L’aigle partit loin devant l’ange.

Zaphir après se moment se fit sur de bien avoir gardé le livre qui lui avait été donné.

Mais pourquoi Andell lui avait-il donné se livre, que pouvait contenir se livre. C’est question tourmentait légèrement Zaphir mais il fesais confiance à Andell si il lui avait confier se livre c’est qu’il y avait une raison.

Encore dans la nuit l’aigle arriva à la ville de Baledor, dans ces lieux sombre elle scruta toute les petite rue de la vile pour enfin apercevoir quelqu’un qui pouvait ressembler à Zero, se rapprochant de plus en plus l’aigle vit bien que c’était la bonne personne, elle s’approcha et atterrie sur l’épaule de l’homme sans même craindre sa réaction.

Iris resta figée quelques secondes, alors qu'elle endendait dans la pénombre le jeu d'un quelconque objet dans sa serrure. Quelqu'un essayait donc de l'ouvrir et, vu la vurée de l'oprétion, de façon peu habituelle.

Avait-elle la clé de la chambre avec elle ? Si c'était le cas, alors ce pouvait être l'un de ses compagnons qui tentait de rentrer. Mais elle ne la voyait nul part...

La dague à la main, elle se leva en silence, portant la main vers son front pour s'assurer que son bandeau couvrait toujours un cristal à son front. Ses pas légers ne faisait aucun bruit. Au moins, elle avait appris à se déplacer sans bruit... Comme la serrure cédait finalement, la jeune fille se retrouvait à deux mètre de la porte.

La porte s'ouvrit, grinçant légèrement sur ses gonds. Iris s'était placée en position défensive. Faisant un pas vers l'avant, le premier homme remarqua avec surprise la bulle d'Iris, à l'écart du lit. L'épée à la main, il fit un signe à son compagnon.

- Allons, petite. Tenir une dague ne veut pas dire savoir s'en servir. Il te manque plusieurs années d'expérience. Viens avec nous !

Iris ne bougea pas, se contenta d'observer l'homme en détail: sa position, son attitude, ses moindres gestes... Un assassin -un autre-, avec un compagnon... Mais le compagnon ne se souciait pas, du moins pour l'instant, du combat. Se contentant de toucher à sa bague, il bloquait l'entrée, s'assurant que personne n'intervienne.

L'ennemi direct d'Iris commençait à s'impatienter. Avec une aise et une facilité hors du commun, il sortit deux dagues et joua quelques secondes des doigts avec les armes, les faisant passer d'un doigt à l'autre. Iris l'observa avec attention puis, d'une main, reproduit le mouvement de la main.

L'assassin fronça les sourcils. Qui était-elle ? Alors qu'Iris lui faisait preuve de 'ses' talents, il en profita, se jettant sur elle pour l'immobiliser; mais tout comme elle l'avait vu jouer avec ses dagues, elle l'avait vu s'arrêter pour foncer vers elle, aussi sa dague reprit place dans sa main tout aussi rapidement.

Elle para le premier élan de l'homme, évita le deuxième avec aise. L'observant, elle ne faisait rien pour contrattaquer: au contraire, elle comptait bien en apprendre le plus possible sur son combat avant de lui porter un coup.

Le compagnon continuait d'osberver d'un côté la scène, de l'autre côté la sortie. Il sortit son arme pour ne pas prendre de chance. Les dagues s'entrechoquèrent pendant près d'une minute; Iris esquivait sans problème les coups, remarquant les moindres muscles tendus de l'homme devant elle, prévoyant ainsi chacun de ses mouvements. Il était doué; c'était tout à l'avantage des deux adversaires.

Enfin, satisfaite et sentant perler une goutte de sueur sur son propre front, elle lui fit signe d'arrêter. Il sourit, lui demanda de lâcher son arme, ce qu'elle ne fit pas. Il soupira. Se replaçant pour le combat, il la vit foncer ver lui avec assurance, chaque mouvement contrôlé avec précision. Il voulu riposter, mais le corps chétif d'Iris esquiva avec rapidité et, la seconde d'après, il sentait la dague de l'enfant s'enfoncer dans son torse. Sans perdre une seconde -car le blessé pouvait être tenace-, elle désarma son adversaire d'une de ses dagues et se recula, alors que ce dernier s'écroulait au sol.

Le compagnon sembla déstabilisé, mais ne perdit pas une seconde: son anneau s'illumina alors qu'il se concentrait une seconde, ce qui restait apparament sans effet. Il recula en referma la porte sans sembler craindre grand chose.

À une certaine distance de là, particulièrement au château, de bruit de gardes s'équipant se mettait à raisonner. Déjà, quelques-uns sortaient pour aller en direction de l'auberge.

Zero continua toujours son chemin pour trouver une fameuse personne pouvant l'aider. Personne ne sembla avoir ce don pour comprendre et discuter avec Leyth. Zero resta songeur et ne voula pas abandonner, si il devait prendre toute la nuit et ne pas se reposer il le fairait. * Garagorne... J'aurais besoin de toi*

Il arrêta sa marche et regarda sur son bras et regarda à terre. Le bruit du fracas de l 'armure sur le sol lui avait fait faire un saut. Il posa son genou au sol et regarda Leyth. Il ne voyait qu'une armure flottante, il aurait bien aimé voir son visage à quoi il ressemblait. Voir ses émotions, quel age pouvait-il bien y donner. Surtout le comprendre.

Zero sentit une pression sur son épaule. Il pouvait même dire que s'était des griffe se recerant sur lui. Il tourna la tête tranquillement ne sachant pas si il voulait vraiment voir la personne. Il se rendit compte que s'était un aigle avec une lettre. Il la prit de l'aigle en le saluant et commença sa lecture.

-Bonjours noble guerrier, je me nomme Kiera, aigle sauvage au service d’un ange. Cette ange m’envois vous avertir qu’il est en route pour venir vous voir dans cette ville avec des nouvelles d’un de vos ami.

-Un ange...Zaphir?...ami? Andell? Kiera, merci beaucoup de----

Zero se retourna avec vitesse et vit quelque garde aller vers l'auberge. Ceci ne pouvait être bon signe. Il fit signe à Leyth de le suivre et commença la cource mais se fit intercepter...

Phantom regarda l'action qui se passa à l'arrière vers l'auberge. Il observa les gardes au souffle coupé essayant d'y entré le plus vite possible. * Iris a des problèmes? Si cela cause sa mort tant mieux une de moins sur le groupe. Autant en profiter avec tout ce rafus personne ne se soucira de la mort de Zero, personne pourra le protéger.* Phantom sortit de sa cachette et arrêta Zero au milieu du chemin.

- Hehehe... Votre mort sera vite et sans douleur si vous me laisser faire Zero. Ne me forcer pas la main.

-Phantom... Je vous avais accorder ma confiance, pourquoi?

-Je dois respecter la mission de mon maitre. Depuis le tout début je vous observe. Je dois récupérer ce fameux livre et ne laisser aucun survivant. Alors si vous le voullez bien, je vais commencer par vous tuer. Un chef en moins, le groupe sera en déclain.

-Hm, vous montrez déja vos point faible. alors cette vengeance seulement une diversion poru entré plus facilement.Qu'il en soit ainsi, désoler de vous décevoir mais je ne vous laisserai pas faire. Alors qu'est-ce que vous attendez attaquer...

- Rien de personnel mais les ordes sont les ordes. Aurevoir Zero.

Phantom fonça sur Zero prêt à attaquer, Zero sortit l'épée et fit de même...

Leyth s'était caché derrière Zero dès que Phantom était arrivé et pendant la bataille, il avait reculé de quelques pas pour laisser son ''protecteur'' se battre sans encombrement.

Dès que la bataille fut soudainement fini, Leyth se raprocha rapidement de Zero et se cacha à nouveau derrière ses jambes.

(désolé pour la longueur minable du texte mais j'avais rien à dire de plus )

Speranzes toujours sous forme de faucon passa au dessus du village a une vitesse qu'il n'avait jamais attein jusqu'a se moment et il n'eut que le temps de voir quelques gardes se diriger vers l'auberge.

"Jerpere qu'il n'est pas trop tard"pensa t'il.

Il ne prit pas la peine de ralentir. Il défonca la fenêtre, reprit sa forme humaine, dégaina un de ses longs sabres et transperca la porte de meme que le garde qui se trouvait de lautre coté. Il rengaina son sabre et ramassa celui qu'il avait laisser a la jeune fille. Tout le temps de son retour forcé il avait gardé l'image de la personne qui voulait forcé la porte, mais en regardant autour de lui il vit un garde mort et Iris avec un dague a la main.

Une jeune fille de peut-etre 13 ans qui venait de tuer un garde avec le double de son age! C'était la premiere fois qu'il voyait sa. Il reprit vite ses esprit, il n'avait pas oublier les autres gardes qui arrivaient. Il élabora un plans assez vite, il prit le parchemin sur lequel il avait ecrit le message pour Iris trouva la plume et écrit "reste la". Il le montra à Iris en s'assurant qu'elle l'avait bien lut et comprit. Il devait faire vite alors il n'attendit pas de réponces concrète de la jeune fille.



Il se dirigea vers la fenêtre et sauta en bas et il attendit que les gardes l'encercle.

-Alors on s'amuse un peu?

Il se mit a rire en dégainant ses 2 sabres. Le combat allait etre dur, mais il ne pouvait pas s'empecher de rire en pensant a l'autre garde tuer ou blessé par Iris "Il naurait jamais pensé qu'une si petite fille puisse se défendre aussi bien". Il arreta de rire et se concentra plus sur le combat qui allait se dérouler dans quelque instants.

Il ferma les yeux quelques instants et il visualisa les coups qu'ils allaient porter. Il avait vu juste. Ils se jetterent tous un apres l'autre sur lui. Le premier fonça directement sur Speranzes et s'enpala sur un sabre. Les deuxiemme l'attaquetrent chacun de leur coté, au dernier maument il sauta dans les aire et ils s'entretuairent. Les soldats commensaient a etre en plus grand nombre et Speranzes avait du mal a suivre le rithme rendu la, il ne lui restait qu'a espéré de laide au plus vite.

Iris avait nonchalament retiré ;e corps du garde hors de la chambre, ayant simplement prit soin de lui retirer ses armes. Fermant la porte derrière elle, elle étudia ses deux nouvelles dagues. L'une semblait bien normale; elle l'avait accroché à sa ceinture, dans son dos. L'autre par contre semblait réagir de la même façon que l'air au contact de son bouclier magique, émettant cependant une couleur plutôt verdâtre. La lame courbait d'ailleurs de façon particulière; elle était somme toute de bonne qualité, magique, sans doute, vu sa réaction à l'antimagie.

Rien de moins à s'attendre d'un assassin bien entraîné... encore que l'arme lui serait personnellement inutile, à elle. Elle la rangea de même, laissant sur une table sa dague initiale, la plus abîmée par le combat.

Enfermée à nouveau dans la chambre, elle retira son bandeau, se regarda dans un mirroir. Le cristal à son front, d'un blanc transparent, brillait constamment, comme s'il devait constamment être utilisé. Sans inquiétude, doucement, elle porta la main vers l'objet et, comme s'il traversait magiquement sa peau (ce qui était en quelque sorte le cas), elle le retira et le déposa sur sa table.

Elle eut un léger malaise à cette séparation, mais rien de bien difficile à supporter... Elle reprit la cristal et le remit à sa place: le bouclier magique avait recommencé à luire, mais elle le vit s'intensifier avec force. Elle en détuit que le taux de magie dans l'air avait augmenté à nouveau.

Elle expira profondément, espérant ainsi chasser d'en elle la mauvaise sentation. Elle réessayerait quand ce serait moins pire. Elle retourna vers son lit, s'y étendit. Avec tout ça, elle ne pourrait plus dormir. Elle sentait battre son sang jusque dans le moindre de ses muscles.

Iris songea un moment combien elle aurait le goût de recommencer. L'effet ennivrant du combat, le fait de ne penser à rien d'autre; mais surtout, ne pouvoir compter que sur soi-même. Restait qu'on ne semblait pas s'ennuyer dans ce que les gens appelaient "quêtte" ou "mission". ET puis, il y en avait tant à apprendre !

Elle sentit l'adrénaline passer et sa tête redevenir lourde. Elle referma les yeux en souriant, seulement alertée par le tintement d'armures qui s'arrêtaient devant sa porte.

Speranzes s'appretait a utiliser la magie pour repouser les gardes quand Zero arriva et se placa entre lui et eux. Les lames de ses sabres étaient recouverte de sangs et il avait plusieur entaille un peu partout sur le corps. Il était assez content de recevoir de l'aide, mais Zero semblait plutot vouloir arreter le combat au plus vite et savoir se qui se passait.

-Que se passe t'il? Ils pourront vous répondre mieux que moi j'en suis sur.

Il ne rangea pas ses sabres, au contraire il ressera sa prise sur ceux-ci. Il n'avait aucune confiances en ces hommes. Il était sur que même si Zero voulait parler ils ne serait pas très bavard, mais il attendit, bien au agguet et il écouta se qu'ils avaient a dire.

Les gardes s'écartèrent au son d'une voix qui s'élevait dans la nuit, alors qu'un homme vêtu uniquement de vêtements amples, non armé, avançait rapidement vers eux, sans sembler pour le moins du monde se presser. Outre la bague à son doigt, une amulette pendant à son cou.

- Quelle était cette appel d'urgence ?"

Un des gardes se retira des rangs, rejoignit le nouvel arrivant et lui dit quelques mots à voix basse. Observant bien les gardes, il était visible qu'une bonne partie d'entre eux portait un anneau sembable à ceux près de la porte.

L'homme sembla réfléchir un moment, puis s'avança, ses pieds nus se posant sans bruit sur les dalles froides du chemin pavé. Les gardes s'écartèrent un peu plus; les plus proches s'inclinèrent même. Arrivé à quelques mètres de Speranzes et Zero, il reprit parole.

"Ainsi donc, vous entrez dans notre ville et la première chose que vous faîtes est de mener à la mort de plusieurs soldats du royaume, qui ne faisaient que leur travail. Vous défendez de cette façon celle qui nous a, cette même nuit, volé, et vous vous faîtes encore maintenant ennemis de l'État. Selon les lois et pouvoirs qui m'ont été conférés par le royaume, j'ai le devoir de vous arrêter pour meurtre et trouble à l'ordre public. Veuillez nous remettre vos armes, sans quoi je devrai vous les retirer à main nues.

Ceci étant dit, le moine se prépara à toute éventualité. De par sa simple attitude, on pouvait déduire qu'il en avait vu beaucoup comme eux qui avaient tenté de lui résister.

(Petit cours rapide de Donjons et dragons... Les moines sont reconnus pour avoir des capacités martiales particulières, des attaques enchaînées, des poings d'une force rivalisant presque avec les armes... De même, parmis les classes de personnage, ce sont eux qui ont les meilleures capacités pour éviter ou résister aux différents sorts. En fait, ils sont plutôt concentré sur une défense incroyable, tout en gardant une attaque assez raisonnable.)

- Que vous soyiez chef du groupe ou quoi que ce soit, ce n'est pas sous vos ordres que vos compagnons ont attaqués. Nous pouvons discutter plus en profondeur (disant cela, il fit signe à un garde de ramasser l'arme de Zero), mais il ne reste que vous vous en êtes tous pris bien consciemmment aux protecteurs de la ville. Vous pouvez demander justification quant au pourquoi de l'arrestation, mais nous ne laisseront aucun agresseur s'échapper, soyez-en sûr !"

Un nouveau garde, reconnaissable comme l'un des deux qui étaient originellement à la porte de la ville, attendait que le moine ait fini de parler pour intervenir. Il s'avança alors, posa un objet dans sa main et se recula; détournant les yeux vers Speranzes, il eut un léger sourire vite réprimé.

"Jusqu'à nouvel ordre, vous serez confiné dans cette auberge. Personne n'aura l'autorisation d'en sortir jusqu'à ce que tous les opposants aient été déterminés et emportés.

- Qui a dit que cet homme a attaqué le premier ?"

Le moine les avait suivit à l'intérieur...

"On m'a plutôt rapporté que c'était une fille qui vous accompagnait qui a commencé les hostilités en s'en prenant à un garde qui l'avait vu voler quelque chose. N'est-ce pas là pourquoi vous vous battiez ?

Speranzes n'était pas très content, se laisser désarmer comme ça et se faire retenir dans un endroit quelquonque, il ne l'aurait jamais laissez faire si il avait été seul. Mais il ne voulait pas ammener plus d'ennuis. Il les écouta parler sans dire un mot jusqu'a se que Zero lui parle.

-Speranzes, tu peux m'expliquer ta version des fait, non excusez moi, l'expliquer à ce moine? Je ne doute pas de toi au contraire juste ceci pourra surment nous aider, moi je n'y était pas.

Il devrait expliquer ses acts, allors il le ferait très calmement.

-Et bien je vais commencer du début. J'ai laissez Iris dans une chambre de l'aubrege et je suis parti me promenez un peu. J'étais assez loin de la ville quand j'ai eu une "vision" si on peux appaler ça comme ça, je ne sais pas trop, car c'était la premiere fois que ça marrivait. Cette "vision" me montrait que quelqu'un forcait la porte de la chambre d'Iris alors je suis revenu en ville au plus vite. Dans mon retour j'ai vu les garde du chateau se diriger vers l'auberge, alors je me suis encore plus inquièté pour Iris, car il s'était peut-etre passé quelque chose dans l'auberge. Je suis entré pas la fenetre et jai traspercé la porte, mais je ne sais pas trop sy il y avait quelqu'un. Néanmoin j'ai vite remarqué le garde mort et Iris dague en main et j'ai déduit qu'il l'avait attaqué. Alors les autres gardes était un danger aussi et je suis dessendu par la fenêtre, il m'ont encerclé, m'ont attaqué et vous connaissez la suite.

Il n'avait jamais parler autant. Il espérait que sa version des faits serait confirmé pas les gardes, surtout que sy ils se renseignaient quelque peu sur lui ils découvriraient qu'il était un tueur assez connu dans plusieurs villes voisines. Il attendit de voir se qu'ils diraient avec impatience.

Depuis que Zero lui avait fait signe de rester avec Garagorne, Leyth regarda Garagorne dans les yeux sans arrêt, même dans l'auberge.

*...pourquoi Zero veut que je reste avec cet inconnu? Est-il un ami à Zero?...lui, pourrait-il me comprendre?...Il ne ressemble pas aux autres humains où à Zero...pourtant il a des ailes comme moi...*

Si les méchants soldats avaient pri son armure, personne auraient su où l'être magique était. Étant du vent, il était par défaut invisible.

Dans l'auberge, Leyth s'assit à terre, devant Garagorne. Il ne se fatiguait pas de le regarder. Seul ses yeux bougeaient, le reste était imobile.

- Monseigneur, permettez-moi de vous dire que cet homme avait dégaîné ses armes en sautant parmi nous de la fenêtre de la soupçonnée voleuse, montrant directement des signes d'hostilité et donc nuisant à notre travail.

Un garde qui s'en était prit à Speranzes avait pointé ce dernier en parlant au moine qui, on pouvait le supposer, tenait une place importante dans le royaume. L'homme respectable parut réfléchir une seconde, puis répondit à Zero.

- Personne n'a fait mention que vous aviez commencé quelque combat que ce soit - aucun nous concernant directement, du moins. Pour cette histoire de traître, nous nous en occuperons plus tard.

Les gardes commençaient à relâcher, mais sous chaque coup d'oeil du moine, ils se redressaient, prêt à toute éventualité. Un nouveau garde, en armure plus élaborée que celle des gardes normaux, arriva de la direction des chambres et prit parole.

- Monseigneur, la fille refuse de répondre aux accusations portées contre elle. En fait, elle résiste encore, et semble heureuse de le faire. Avons-nous la permission de-

Il se tut sous le signe de son auditeur qui reprit, se retournant vers Zero.

- Vous dîtes que votre amie ne s'en prendrait à personne que par défense ?"

Puis, se retournant vers le garde:

"Accordé, ne risquez rien. Gardez-la simplement confinée jusqu'à nouvel ordre. Donc... Monsieur (s'adressant à Speranzes à nouveau), vous avez dit que, suite à votre vision, vous avez supposé qu'on l'avait menacé. Si on se fit à ma garde, un... objet particulier (il sembla hésiter sur le mot) avait été pris et leur enquête -signalée un peu plus tôt- les avait mené jusqu'ici, où l'un des deux se fît tuer. L'autre a vu la scène et nous a rapporté de façon concise les événements. «votre vision n'est-elle pas ainsi confirmée, monsieur... quels sont vos noms, au juste ?