Une plaine d'herbe longues du côté opposé de la forêt

Zaphir regardait dans la forêt essayant de percevoir quelque chose mais rien a faire cela était presque imposible.

- Hmm oui je cherche mais je crois que cela est presque imposible de trouver un simple livre dans la forêt, il peut se trouver n'importe ou. Et qui la emporter dans la foret si se n'est pas cette autre femme??

L'ange se posais cette question qui pouvait bien avoir emporter le livre et aussi où se trouvait Zero, et puis de toute facon sa ne change pas grand chose qu'il ne sois pas la il ne reponderais pas et une bagare eclaterait encore.

Zaphir survolait toujours la forêt quand il entendi une voie lui parler.

- Ne cherche pas se que tu ne peut pas voir ressent le, tu recherche un objet qui contien des renseignement magic donc ressent la magie de se livre et tu pouras le trouver.

La voie cessa et l'ange ressentit un léger coup de vent. Se Zef comment fait t'il pour toujours me donner le bon conseille.

Le soleil s'échouait peut à peut au travers des grandes montagnes vertes, la noirceur s'emparrait de cette terre pour quelques heures.

- Le soleil se couche , bientot nous ne verront même plus le bout des arbres nous ferions mieu de trouver un endroit pour la nuit et demain nous retournerns dans cette maudite forêt, moi en tout cas.

L'ange vit un petit lac près des bois et alla s'y poser.

Le moine de Baledor avait traversé à une vitesse surhumaine la vaste plaine qui entourait son royaume. À son doigt scintillait une bague magique (appelée communément "bague de subsistance") qui lui permettait de n'avoir à dormir que quelques heures par semaine et de n'avoir aucunement besoin de manger.

Pourquoi était-il parti, laissant son royaume toujours sous la panique de l'attaque passée d'une créature gigantesque et anormale ? Il s'arrêta, en fin d'après-midi, devant une tour isolée. Rien n'indiquait qu'il fut utile qu'une tour se trouve là, et pourtant...

Le moine allait cogner à la porte qui ne lui en laissa pas le temps. Elle s'ouvrit: un homme encapuchonné se tenait dans l'embrasure de l'entrée. Deux pierres colorées lui tournaient autour de la tête. Ses amples habits étaient couverts de runes et symboles profanes.

Reconnaissant le moine, il retira sa capuche, révélant des oreilles d'elfe et un diadême d'or à son front. Avec un "juste à temps", il fit signe au visiteur d'entrer.

Le moine franchit la porte. La pénombre de la tour luttait en silence contre une centaine de chandelles illusoires répandues dans la salle. L'unique salle était ronde et haute; en son centre, une large, basse table étaient installée, recouverte em partie de livres dont certaines pages étaient marquées, et dont les reliures indiquaient bien l'âge. Les murs étaient cachés en tous sens par d'imposantes étagères emplies d'épais volumes et grimoires, tant et aussi bien qu'on eut pu supposé qu'aucun recueil dans le monde n'avait pas sa version ici.

D'un air distrait, le magicien murmura quelques mots en tordant les doigts de sa main gauche dans des positions étranges; la poussière accumulée tout autour se souleva sans résistance et fût projettée vers l'extérieur (prestidigitation, niveau de lanceur de sort 0 ). Il se dirigea vers la table où un coin avait visiblement été laissé libre volontairement. Il fit signe au visiteur de s'asseoir.

Tous deux gardèrent le silence quelques secondes, s'évaluant mutuellement du regard. Le mage prit parole.

- J'ai déjà tenu ma part du marché; avez-vous trouvé la personne que je cherchait ?

Le moine s'attendait à la question, mais n'avait toujours pas trouvé de réponse satisfaisante, car il ne répondit pas tout de suite, sans pour autant perdre son calme. Il finit cependant par s'exprimer, sans grande expression:

- Vous me voyez surpris, vous savez ? Vous ne m'aviez pas prévenu pour ces vagues de magie, même si vous saviez que la personne que vous cherchez pourrait grandement en souff-

- Je n'ai pas prévenu car ces paroles n'avaient pas leur place dans la trame du temps. Mais ne vous en faîtes pas, la personne que j'attend, je l'aurai bien assez tôt, et je pense toujours que c'est vous qui me la rapporterez lorsque le moment sera venu.

- Si au moins je savais de qui il s'agissait...

- Chaque chose en sont temps."

Le moine acquiessa en croisant les bras.

"Donc, vous êtes revenu pour connaître l'emplacement d'une seconde pierre de Tin'rad'an, n'est-ce pas ?

- Nous savons tous deux que vous savez déjà où elle est; ne perdez pas-

- Perdre votre temps ? Je pourrais converser avec moi-même et répondre à votre place, si c'est là ce que vous voulez ! Mais les choses ne doivent pas en être ainsi. Bon... pour répondre à votre future question, je ne demande rien d'autre pour cette fois; vous savez que vous avez à me trouvez quelqu'un, et c'est là le seul intérêt que j'aie. La pierre que vous cherchez est la dernière qui ne se soit pas réveillée, et est située ---------------------------------------------------------------- .

Sans dire un mot, le moine se leva et commença à se diriger vers la porte, pour seulement être interrompu pr la voix qui s'élevait derrière lui.

- Au fait, vous voudriez peut-être passer par Baledor; quelque chose d'irrégulier s'y passera dans 2, 1... Ça a commencé.

Un tic au coin de l'oeil, le moine quitta plus hâtivement le repère du magicien. C'était bien le seul qui ne lui ait jamais fait perdre patience depuis... bien longtemps déjà. Il prit le pas de course en direction de Baledor qui, au loin, prenait déjà une étrange allure.

----------- (saut dans le temps, quelques heures plus tard) ----------

Andell traversait à basse-hauteur les plaines à proximité de Baledor. Étrangement, il avait beau regarder au loin; aucune muraille ne se détachait de l'horizon. Il puisuivit son chemin. Arrivant bientôt à la ville.

(suite dans Baledor)