Quartier de l'Ordre (emplacement inconnu pour tous)

Nombre de messages : 38 Age : 34 Date d'inscription : 17/07/2006

Il était agenouillé sur el pavé froid de la pièce, jamais il avait senti une aussi fraîche sensation en entrant dans ces quartiers. L’endroit n’ayant aucune lumière, Garagorne se senti perdu, un peu effrayé, il ne voyait plus rien.

Prenant sa main gauche et la déposant dans la paume de sa main droite, Garagorne ne fut pas surpris en sentant une peau douce, avec quelque repli à l’extrémité. Montant sur son bras, Garagorne pu apercevoir une multitude de petite bosse, une à côté de l’autre. Un phénomène que plusieurs humains avaient en ayant un léger frisson, s’habituant peu à peu par celle-ci, par le fait qu’il en avait moins régulièrement plus le temps avançait.

Garagorne pu apercevoir finalement des objet autour de lui, des boites en bois compiler une par dessus l’autre. Surpris au départ par cette nouvelle vu, Garagorne prit un moment pour regarder autour de la pièce, essayant de ce retrouver dans les Quartiers de l’Ordre. Celle-ci était bien l’endroit qu’il avait demandé d’être emmené.

S’habituant de plus en plus à l’endroit ou il était agenouillé, Garagorne se leva tranquillement. Ne sentant plus aucune douleur au niveaux de son corps. Il se rappela peu à peu l’événement passé. Changé en humain, il avait été traumatisé, puis l’endroit qui lui vint à l’esprit le plus rapidement possible était l’Ordre. Alors, il s’y avait rendu sans avertir personne?

Puis il se rappela : Lyeth. Il lui avait averti de son départ, en lui disant qu’il reviendrait, ce qui n’était pas encore sûr à ces yeux.

Rassuré, Garagorne prit un moment de repos, pour remmener tous ces problèmes bien en place. En silence, bien profond dans sa tête, Garagorne ne prit point de temps pour entendre les paroles sans fins des Chevaliers de l’Ordre, ainsi toujours au travers, l’endroit ne trouvait jamais le repos éternel.

Content d’être de retour chez lui, Garagorne ouvrit silencieusement la porte. Il se rappela soudainement son emplacement parmi les grands corridors de l’établissement. Prenant route ver les hauteurs, Garagorne prit un moment pour observer de nouveaux l’emplacement, ainsi devenu bien sombre à ces yeux.

Les murs ronds, qui s’enroulait autour de ceux passant au dessous. Le plafond bien bas, assez désavantageux pour ceux qui avaient une taille bien grande. Les pas paraissait comme une marche tranquille dans de l’eau peu profonde. Les nombreux bruits environnants échoyant dans les parois sans fins. En somme, une vraie caverne, creuser par de vrais hommes, bien fort, pour créer le parfait repère secret. Un repère qu’aucun gouvernement ne pourrai imaginé trouver.

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Prenant route rapidement ver un corridor à sa gauche, Garagorne pu sentir le tunnel monté progressivement. Fessant quelque salut à chaque passant qu’il connaissait ou avait une amitié très rapproché. Puis, sentant une chaleur prendre le dessus sur la fraîcheur du sous-sol, Garagorne pu en déduire qu’il arrivait au point final des Quartiers.

Toujours sous l’aspect humain, Garagorne pu traverser quelque visage interrogatoire pendant son trajet, toujours demandant de garder les questions pour plus tard. Ces Guerriers loyaux, ne protestèrent point, et continuèrent leurs travaux, sachant que la réponse viendrait sous peu.

Entrant finalement dans un locaux, plutôt rond mais vaste et grand. Garagorne laissa tomber une expiration essouffler. Celui occupant le locaux, eu un léger haussement du sourcil en voyant la forme plutôt…différente, d’un de ces plus grand Guerrier. Il se leva de sa chaise carré, et s’approchant tranquillement de Garagorne.

Le demi dragon devant lui, prit un moment pour observer la pièce, comme il fessait avec toutes les autres traversé depuis sa mutation. Une chambre bien sombre, comme toutes les autres, entouré de murs moites et ronds. Le plafond bas, avec quelque petites stalactites, encore bébé. Un chaudron au milieu de la pièce, laissait abandonner des filets de fumés, qui s’envolèrent au plafond et se dispersant aussitôt. Des cabinets entouraient la pièce, mais Garagorne ne prit pas de temps pour deviner leur trésor.

Sortant rapidement de sont regard vague, Garagorne pu remarquer aussitôt que l’homme devant lui attendait son attention.

-Alors, ce ne sait surment pas passer comme prévu?

Laissant passer ces traits inquiets, l’homme tourna le dos à Garagorne, pour reprendre ces travaux prêts du chaudron, encore rempli de fumé noir et rouge, ayant l’esprit tranquille, sachant que le demi dragon derrière lui allait tous expliquer.

Garagorne comme prévu, s’approcha du chaudron, prit quelque bouteilles à ces côtés, puis les déposèrent près de l’homme, habillé d’une simple tunique noir. Puis, tout en fessant son travaille, il commença à lui expliquer se qui s’avait passer. L’événement n’avait prit que quelques heures, alors les détails n’étaient point grands…

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Garagorne eu même pas le temps de respirer après avoir fini son récit, que déjà l’homme devant lui l’assommait de question sur celle-ci. Garagorne certain d’avoir beaucoup de temps devant lui, les répondu une après l’autre lentement et calmement.

L’homme devant lui passait souvent d’un cabinet à un autre. Garagorne pu remarquer que chacune d’elle contenait des items différents, soit des herbes, des huiles ou même de la peau d’animaux. Il ne pu pas voir ce que cachait toute les cabinets, mais il avait vu une quantité suffisante. L’homme revenait souvent au côté du chaudron, mettant à ces côtés les objets choisis avec précision.

Pendant que l’homme continuait son rituel, il prenait beaucoup de temps pour discuter avec Garagorne. Le demi dragon aussi prenait son temps pour discuter avec le Sage devant lui, mais il appréciait beaucoup l’aider par le fait même.

-En effet, votre mutation en humain est quoique…étrange. Seulement l’Ordre n’a pas été né pour combattre les effets naturels des planes, souvient toi en bien. C’est un malheur pour moi qu’autant qu’à toi, mais tu saura obligé d’enduré cette nouvelle forme jusqu’attend qu’on trouve une solution agréable.

Garagorne lui répondit par un simple sourie, tous en continuant de déposer des huiles dans le chaudron, ou écrasé des herbes dans un contenant, mais il voyait bien que l’homme à ces côtés se souciait de sa mission.

-Alors, le livre est toujours entre leurs mains?

Garagorne lui rassura le cœur en lui répondant d’un simple mouvement de la tête, démontrant que son doute était faux, mais le Sage n’était toujours pas rassuré à point.

-Puis les pierres? Vous avez trouvé leur emplacement?

Garagorne eu un léger malaise à lui avouer la vérité. Il eu un moment à répondre, mais il fini par faire un hochement horizontale de la tête. Il pu remarquer assez tôt le doute revenir au Sage.

-Barachiel ainsi que ma transformation mon fait perdre beaucoup de temps quant à ma tâche principale, d’où mon retraitement ici, au Quartiers générale.

Garagorne pu remarquer aussitôt que le rituel tirait à sa fin. Garagorne profita de ce temps pour quitter le Sage de l’Ordre. Il entra dans le couloir, prenant route ver les confonds de l’Ordre. Il prendrait tous le temps qu’il voudrait dans son local pour étudier ces pierres, il passerait peut-être par la bibliothèque de l’Ordre par après.

Descendant progressivement dans les profondeurs de l’Ordre, Garagorne pu remarquer la noirceur prendre contrôle de sa vu, Comment les humains de l’Ordre font pour voir à ce point de l’établissement? Pensa-il tous bas. L’Ordre étant fait dans une grotte énorme découvert tôt dans l’évolution des humains, alors la construction la fit descendre encore plus bas dans les confonds de la planète. Rendu au point ou la chaleur du noyau terrestre se répandait dans les locaux supérieurs.

Cette nouvelle vu sombre de Garagorne le troublait un peu au départ, mais il était décidé de combattre les défauts de l’homme…

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Le silence de la pièce rongeait progressivement l’intérieur de Garagorne. La bibliothèque sombre, comme toute les pièces, était calme. Le demi dragon, assit à une table au milieu du local, était le seul de toute la journée à avoir pénétré la salle. Une pièce plutôt grande, reposant des milliers de bouquins, venant des plus sombres recoins du monde entier, un vrai coffre à trésor. Un historien ne voudrait jamais quitter cette pièce, de peur d’oublier les informations infinies qui s’y recèle.

Un livre entrouvert au trois quart de celui-ci reposait devant les yeux de Garagorne, ainsi qu’une dizaine au côté du premier. Tous ouvert à une page aléatoire. Le demi dragon regarda tranquillement les lettres inscrites sur les pages, jaunies par le temps. Lisant chacune d’entre elle, il remémora les informations qu’il connaissait déjà par cœur.

Finissant la page, Garagorne, ferma le livre. Il se leva de sa chaise, ne fessant pas de bruit, pi alla remettre le bouquin à sa place précise dans les étagères. Glissant son doigts sur le titres des centaines de grimoires placé en verticale sur l’étagère, il up apercevoir plusieurs noms connus :

-Combat Corps à Corps, par Ira Perormath
-La Magie Ancienne, par Samage Honageshy
-La Légende du Tigre, par I'samsul Perbel et Ad'rad Rakoc
-Les Terres du Nord, par Awale Vestin
-Le Sillage Mensuel, par Lacom Ackther

Puis mettant son doigt sur une couverture noir. Une couverture qu’il reconnaissait parmi plusieurs. Il pu lire avec admiration :

-Le Necromanticon, Le Livre de la Mort

Garagorne eu un léger sourire en voyant une espace vide ou le nom de l’auteur devait être présent. Beaucoup d’auteur différent avait été nommé comme propriétaire de cette merveille, mais aucun n’avait été capable de prouver leurs droits sur celui-ci. Ainsi, devenant un livre sans auteur légal. Par le fait même, il avait été prouvé loyalement, que Igor Von Drakenoff avait été le premier à découvrir ce grimoire.

Garagorne se souvenait d’avoir placé ce fameux grimoire sur l’étagère, fessant énormément plaisir à l’Ordre, qui recherchait se bouquin depuis des années, ainsi rendant son amission plus facile.

Après savoir remémorer de merveilleux souvenir, Garagorne alla prendre sa place appropriée, aux côtés de ces livres. En ouvrant un délicatement, sur la première page, il pu lire :

-Cartographie Terrestre, par Moust Cleazale

Il repris une page bien précise, celle dont il avait fini sa lecture, il y a de cela un petit moment. Il regardait une carte précisant l’altitude des environs d’une ville, Baledor. Glissant son doigt sur les milliers de petites courbes bleutées, Garagorne étudiait avec délicatesse les endroits ayant une courbure plus directe.

Puis ouvrant un livre à sa gauche, Garagorne pu apercevoir une image de la ville de Baledor, montrant tous ces recoins les plus cachés, ainsi que toutes ces bâtisse, sans exception. Une image misse à jour à chaque année, il ne pouvait pas se trompé…l’emplacement était trouvé…

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La noirceur infini l’emportait de progressivement de jour en jour. Il ne pouvait plus dormir, de peur de se perdre à tout jamais dans ce nouveau monde effrayant. Sa chambre n’ayant aucune espace d’ouverture, avec l’exception de la porte, qui restait toujours fermé, elle restait constamment dans l’obscurité, ainsi détruisant mentalement Garagorne.

Puis, brisant latéralement le silence, un cognement sec se fit à la porte bien solide du local, un cognement sec, démontrant son habitude avec l’endroit. Sans même attendre un signe de l’occupant, l’individu ouvrit la porte.

Il était grand, cheveux assez long, reposant sur ces épaules. L’homme avait l’air inquiet pour l’être devant ces yeux. Ne voulant pas trop s’approcher il restait à une bonne distance du lit. Puis d’un geste de la main, l’homme fit allumé une dizaine de chandelles éparpillé à des endroits spécifique de la pièce, ainsi la rendant tr`s chaleureuse.

Garagorne se plia de douleur, fermant ces yeux par la lumière aveuglante. Ces yeux in habituer par l’éclaircissement se mirent à pleurer quelques gouttelettes d’eau. L’homme se rapprocha tranquillement du lit, déposant une serviette humide sur son front, trempe de sueur.

L’individu pu apercevoir aussitôt, l’humain devant lui, reprendre des couleurs. Garagorne pu sentir la douleur dans ces yeux progressivement disparaître, ainsi prenant le courage de les ouvrir tendrement. Ayant un peu de misère au départ, il les garda à moitié ouverte, comme un âgé ayant besoin de lentilles.

Le faux demi dragon pu apercevoir l’homme à ces côtés lui faire un sourire, comme si son travaille était terminé.

-Sage ma fait par de tes observations, comme ça vous auriez trouver son emplacement?

Garagorne encore un peu étourdit, prit un moment pour comprendre sa phrase, ainsi que prononcé sa première phrase.

-Tous ce que je peux dire...c’est que l’Ordre a de bonnes sources.

Garagorne retourna aussitôt un sourire gracieux à l’homme à ces côtés, le reconnaissant progressivement. Vêtu d’une tunique de laine brune, et de pantalons beige. Il portait un bandeau autour du front, ainsi qu’une ceinture noir autour des hanches, la vue encore brouiller, Garagorne ne pu reconnaître les objets à l’intérieur de celle-ci.

-Quand est-ce que vous allez partir à sa recherche?

Garagorne ne répondit pas à sa question, démontrant son doute pour celle-ci.

-Allez-vous amener des Chevaliers avez-vous?

La fatigue l’emportant peu à peu, Garagorne répondit d’un simple mouvement vertical de la tête. L’homme comprit aussitôt reculant de quelque pas. Il fit un geste d’au revoir à Garagorne qui fut répondu aussitôt, puis fermant les chandelles, il quitta la pièce.

Le faux demi dragon, perdu comme jamais, se retrouva de nouveau dans la noirceur effrayante de la pièce, essayant de trouver le courage…le courage d’enfin accepter sa nouvelle forme…

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Un homme vêtu d’une tunique brune entra tranquillement dans le domaine du Sage. Il alluma quelque chandelle puis se mit à genoux, récitant quelque phrases à voix base. La pièce était seulement éclairée par les dizaines de chandelles éparpillées ici et là dans la chambre.

L’homme traversa le domaine pour se reposer les yeux sur le corps, en méditation, du Sage. De petit son, doux à l’oreille, pouvait être entendu au fond de la pièce, l’homme pu en déduire que celle-ci aidait grandement le repos du Sage.

Puis, prenant en surprise l’individu de la pièce, le Sage se leva de sa transe, comme si il avait tous vu depuis l’entré de l’homme, amis ceci ne choqua point l’homme abasourdi, il connaissait les grands dons du Sage de l’Ordre.

-Un déclin d’énergie a pu être senti dans l’air, mon Sage.

L’homme pu apercevoir un léger sourire sur les lèvres du Sage, ainsi rendant joyeux ces propres pensés.

-Mais la condition de Garagorne, n’a point changer depuis.

Le Sage se leva avec misère de son emplacement. Il prit un moment pour tourner en rond, pensant à quelque chose, que même l’homme ne pouvait pas deviner. Puis, il s’arrêta. Comme si quelque chose venait de lui frapper l’esprit, le Sage se tourna d’un bon ver l’homme devant lui.

-Je crois qu’une visite s’impose.

Les deux hommes prirent alors route ver la chambre de Garagorne. L’homme pu apercevoir l’urgence en voyant le pas rapide du Sage, comme si Garagorne se fessait attaqué.

Ils arrivèrent quelques minutes après leur départ à la chambre désiré, ils prirent le temps de cogner deux fois avant d’entrer avec inquiétude. Mais la pièce était vide. Le lit bien fait, aucun objet au sol, l’homme ne pouvait distinguer aucun indice de combat, mais Garagorne n’y était point.

Le Sage ne se questionnait pas autant que l’homme, il entra dans la pièce, ne prit pas le temps de regarder autour, puis prit place sur le lit de Garagorne, fessant signe à l’homme de ce mettre à ces côtés.

En s’approchant du lit, l’homme pu apercevoir un livre, mais pas un livre déjà publié, un livre, précieux appartenant à Garagorne. En prenant place au côtés du Sage, l’homme pu lire le titre de l’œuvre avec facilité : «Le Livre des Méridiens.» L’homme connaissait la grande importance de se livre au yeux de Garagorne, mais se demandait fortement pourquoi il laisserait derrière un livre si important.

Le Sage, sans attendre l’accord de l’homme, ouvrit le livre avec délicatesse, il tournait les pages sans les lires, comme si il en cherchait une précisément. Puis après quelque secondes, il arrêta à un page. Aucun sort, ni rituel. Aucun ingrédient ou objet. Seulement un page jaune, rempli d’écriture récent, comme une lettre, désigner au premier ouvrant de se livre.

Puis, trop curieux pour attendre, les deux hommes, un très vieux et un moyennement jeune, commencèrent à lire, commençant par le titre :

«Une Histoire…»

[Certain comprendront, certain non]

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Les deux hommes finirent la page, rempli d’écriture fait par la main de Garagorne. Il venait de lire l’histoire de son enfance. Le Sage se leva tranquillement de son emplacement, sur le lit. Il prit un moment de silence, repensant au terrible phrases qu’il venait de lire, puis se tournant ver l’homme devant lui :

-Vous saviez cela?

L’homme choqué par sa remarque ce leva rapidement, ne quittant jamais le Sage des yeux.

-Moi!? Le moins du monde mon Sage. Garagorne m’avait déjà fait part de son enfance, mais jamais en détails, jamais dans «ces» détails! Je croit c’était une parti de lui qu’il voulait caché…n’est-ce pas?

Mais le Sage ne répondit pas, trop de question circulait déjà très vite dans sa tête. Il connaissait sa grande capacité à déduire les énormes sentiments qu’un être humain pouvait ressentir, même ceux des autres races. Il avait déjà eu grand plaisir à lire ceux de Garagorne, un sentiment caché.

Sage se souvenait très bien ce qu’il avait vu, comme si la situation se passait devant lui, en se moment même…il ne pourrait plus jamais l’oublier :

-Assissez-vous sur ce banc, Garagorne. Maintenant, faites la paix dans votre esprit, ne laisser rien vous déranger, vous connaissez surment le terme : méditation, bien fait cela. Restez-y encore quelques minutes, je dois préparer quelque chose, je laisse les bruits de mon domaine prendre le contrôle de votre physique...Vous êtes prêt? Très bien, je commence…restez en transe.

Jamais, au grand jamais, il oublierai ce qu’il avait vu ce jour là, et maintenant un peu plus effrayé, l’histoire qu’il venait de lire confirmait exactement ces grands doutes. Il s’approcha de plus près du lit, montrant à l’homme de s’avancer aussi.

-Je ne croit pas que ces fini, il a dû nous écrire une dernière parole avant de partir, sinon ce livre serait avec lui, en se moment.

Il prit le livre dans ces mains, tournant la page, puis prit place sur le lit, inquiet de connaître la suite, car oui…il y avait une suite…

«Une Histoire…ou un recommencement?»

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Bonjour cher lecteur. Il est de mon plaisir de vous informer de ma fuite, si vous lisez ce texte, ses probablement parce que vous avez lu le début, qui s'y retrouve au recto. Vous avez été informé de l'histoire de mon enfance, une qui me déplaisait au départ, mais qui m'apprend bien des choses à l'instant même.

Le lecteur de ce texte doit surment être un membre de l'Ordre, cette communauté que j'apprécie au plus haut point, alors vous connaissez surment la nouvelle de ma...transformation.

Je me pose une grave question, en se moment même: Est-ce que cette transformation a été produit par les vagues de magies qui circulent maintenant sur notre terre, ou est-ce que ma mutation était planifié depuis le départ, pourrait-il y avoir tout simplement un lien entre les deux?

Je vous explique, je suis né la date même de la mort de mon ancêtre, Genius, plusieurs croyait son âme transféré dans mon corps.

Puis à longue, cette idée quitta tranquillement la tête des habitants du nord, voyant bien qu'aucun mal n'avait été fait. Moi même, qui n'y croyait pas au départ, ne le croyait encore moins plus le temps passait.

Mais un bon jour, l'idée mes revenu à l'esprit, vous vous demandez surment quel événement aurait pu bien changer mes pensé. Bien plusieurs la connaissent...mon entré dans «Le Trio Infernal», étant moi même l'apprenti du fils d'un Dieu, le Dieu du chaos, je répandait la terreur sur les rues sombres et fermé.

Pourquoi cela m'était venu à l'esprit? Surment parce que je ne croyais jamais changer pour le mal, jamais trahir mes propres amis, jamais détruire des innocents, mais j'ai tous fait cela...à mon grand désespoir. Mais tous ça est reparti après le temps, ne voulant plus me questionner sur ça.

Puis hier soir...

Toutes ces questions...revenus me hanté. Je le sentais...près de moi. Je me souviens très bien...il était là, à côté de moi...me parlant tous bas. Je peux le confirmer maintenant...il n'est pas mort. C'est pour cela que je doit parti, ne voulant point vous faire de mal pendant qu'il est encore temps.

Mon revirement ver le côté du mal, ma transformation en humain, car oui, Genius était un humain, mes douleurs accrus dans les partis du corps dégageant de la chaleur, mes pertes de pouvoirs, tous était prévu…pour ma vrai transformation.

Pendant que vous lisez cela, il est peut-être déjà trop tard…il a surment prit le contrôle sur moi…

Je vous demande une chose…de vous protégez du mieux que vous pouvez…

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Le Sage ferma délicatement le livre qui reposait sur ces cuisses. Il n'avait pas apprécié guèrement la fin de l'histoire, mais il ne pouvait pas se le cacher…il la connaissait déjà. Ne voulant point attirer sa détresse sur l’homme à ces côtés, le Sage ne bougea point, gardant son énergie pour un futur proche, un futur qu’il ne voulait admettre.

Mais l’homme ne figea pas, se relevant tranquillement après une longue pause de silence. Marcha un moment autour de la chambre, comme le Sage venait de faire, remettent tranquillement ces idées en place. Puis se retournant ver le Sage :

-Vous croyez cette histoire?

Le Sage ne voulait pas répondre, il ne voulait pas présenter aux autres le danger qui courait sur le monde. Il ne pouvait pas répondre «non», il savait que seulement «oui» répondait correctement à la question. L’homme comprit assez vite la réponse du Sage, le déduisant par le long silence qui se propageait par le Sage.

-Alors…Garagorne…est mort?

L’homme ne voulait y croire, un être qu’il avait souvent admiré parmi l’Ordre, un des seuls…serait déjà partis, mais son inquiétude fut interrompu assez vite par le Sage, qui comprenait mieux que lui, la situation :

-Non, le corps de Garagorne est en parfaite forme physique…son âme, par exemple…je crois qu’il va falloir l’oublier…

L’homme se rapprocha de plus près du Sage, voulant être certain de ce qu’il venait d’entendre.

-Parti…ces son âme qui est mort?

Mais le Sage répondu seulement par un simple coup de tête verticalement, démontrant exactement la réponse que les deux hommes refusaient d’accepter. Puis, quelques secondes après, brisant le silence, le Sage se leva :

-Va cueillir tes objets de valeurs, nous partons à sa recherche.

L’homme avait encore une quantité phénoménale de question à lui poser à ce sujet, mais n’en fit pas de cas et parti ver son logement au deuxième étage, il pauserait les questions en route…